Dans le parcours classique, la féminine souhaite généralement être rapidement en couple avec sa Flamme Jumelle.
Puis le parcours avançant, elle peut avoir des doutes sur son autre, sur le lien et sur leur Réunion car elle comprend rapidement que ça ne va pas être du gâteau !
Au fur et à mesure du parcours, la féminine a du mal à trouver sa place avec son autre aussi bien dans les échanges que dans la vie de son autre.
Elle va le plus souvent jouer plusieurs rôles : l’amie, la confidente, la maitresse, la thérapeute, l’élève, la sœur, la mère, etc
Ces rôles lui permettent de garder le lien avec sa Flamme Jumelle mais ne font pas vraiment bon ménage avec la Réunion.
Cela ne fonctionne pas sur le long terme, pourquoi ?
Ces rôles sont égotiques et détournent la féminine de son féminin sacré et donc de sa relation sacrée.
Oui les Flammes Jumelles sont tout l’une pour l’autre, mais l’alignement de la féminine est demandé pour atteindre la Réunion dans la matière.
En tout cas en fin de parcours, cela n’est plus possible de ne pas être à sa place.
En tant que Flamme, qu’est-ce que je souhaite vraiment ?
Un peu d’attention de temps en temps ou est-ce que je veux être fidèle à moi « m’aime » en incarnant ce que je suis pour l’autre, c’est-à-dire sa Flamme Jumelle ?
Qu’est-ce que je ressens au plus profond de moi sur le fait d’être sa Flamme Jumelle ?
Quel contrat avons-nous signer tous les deux avant de nous incarner ?
Quelle est notre mission ?
Parfois, la féminine ne souhaite plus en fin de parcours être en couple avec sa Flamme Jumelle.
Parois, elle a perdu son alignement et son intention en jouant tous ses rôles.
Son masculin étant son miroir amplifié il peut dans ce cas ne plus savoir réellement ce que sa féminine désire. Ces différents rôles lui brouillent finalement les pistes et il reste prisonnier d’une vie qui ne le rend pas heureux.
Alexandra Tsaousis
Coach, Energéticienne, Auteur
Tu aimes mes partages et tu souhaites que je t’accompagne sur ton chemin ? https://www.flammesjumelles.net/accompagnements-2/
Soin Féminin Sacré : https://www.flammesjumelles.net/les-differents-soins/?et_fb=1&PageSpeed=off
Important : Mes partages ne sont que le reflet de ma réalité du moment avec mon niveau de conscience actuel. Gardez toujours votre discernement. Vous savez mieux que personne ce qui se passe en vous et dans votre relation flammes jumelles. Faites-vous confiance !
« l’amie, la confidente, la maitresse, la thérapeute, l’élève, la sœur, la mère, etc », ces rôles ne sont pas dérangeant s’ils restaient réciproques et stables
Que le masculin soit aussi « l’ami, le confident, l’amant, le thérapeute, l’élève, le frère et le père (au sens animique et spirituel bien sûr), etc, ne poserait pas de problème, si ces dynamique restaient équilibrées entre les deux, sans entrer dans une dynamique « fuis moi je te suis », « dominant/dominée », puis « celle qui donne, celui qui prend ».
Ne serait-ce pas justement un amour « complet » et pas juste « romantique/charnel », à multiples facettes?
Pour ceux qui n’ont pas été en couple avant la séparation, ni amants, la séparation est encore plus WTF du coup, car pourquoi devenir distant, éviter, fuir et « rompre » avec une amie (si le masculin est bien aligné quand il dit ne pas sentir autre chose, ou même souhaiter à la féminine de rencontrer quelqu’un, pourquoi justement ne pas rester son ami?)….
Et justement c’est tellement mieux que les fois « classiques » où on s’amourache de quelqu’un sur des critères finalement assez superficiels, conditionnels, pseudo « passionnels » et qui finissent souvent en pétard mouillé quand on découvre la personne un peu plus. Avec la FJ pas de mains moites, ni de « papillons dans le ventre », mais juste la formidable sensation sereine de pouvoir être SOI. Ne pas voir le temps passer en présence de l’autre. Ressentir une félicité à se fréquenter même en étant pas en couple. Et que cela rayonne sur les inconnus que l’on croise dans la rue quand on est ensemble. Et forcément quand on trouve ça, ce qu’on a même pas avec des amis de longue date ou la famille, et parfois même pas avec soi-même (comme si l’autre voyait certains côtés autant positifs que sombres chez nous qu’on ne voyait pas seuls) ben ça tombe sous le sens que derrière arrive aussi des sentiments amoureux, la suite « logique et organique » de la chose, le potentiel meilleur partenaire de vie in fine?
Personnellement, la partie amicale a été tellement bafouée, que oui, en l’état, je ne me verrais pas en couple avec cette personne si comme par miracle ça lui pétait et elle changeait d’avis sur la nature de la relation devenue pourtant inexistante, par ses silences et son désintérêt.
Il faudrait avant tout guérir l’amitié, et ensuite éventuellement plus, si réelles et constantes affinités derrière…
Merci pour le partage de votre point de vue. Bonne continuation sur votre parcours !