Le masculin est souvent dans la légèreté
Le moment présent
L’éparpillement
Le jeu
Parfois la frivolité
La féminine aimerait souvent qu’il se stabilise
Qu’il conscientise le lien
Qu’il se responsabilise
Dans le parcours Flammes Jumelles
La féminine est la plupart du temps sérieuse
Normative
Dans les attentes et projections
Et dépendante affective de son masculin
Elle est encouragée à retrouver sa légereté,
Sa douceur
Sa joie
Son yin
Malgré ce parcours éprouvant et souffrant
Son masculin est dans l’excès de yin
Elle dans l’excès de yang
Ils sont amenés par la compensation à fluidifier leurs énergies
A retrouver un équilibre yin / yang en eux
Et entre eux
Le masculin trouvera son adulte intérieur grâce au parcours et à sa féminine.
La féminine se reconnectera à son enfant intérieur.
Alexandra Tsaousis
Coach, Énergéticienne, Auteur
Tu aimes mes partages et tu souhaites que je t’accompagne sur ton chemin ? https://www.flammesjumelles.net/accompagnements-2/
Soin enfant intérieur : https://www.flammesjumelles.net/les-differents-soins/?et_fb=1&PageSpeed=off
Important : Mes partages ne sont que le reflet de ma réalité du moment avec mon niveau de conscience actuel. Gardez toujours votre discernement. Vous savez mieux que personne ce qui se passe en vous et dans votre relation flammes jumelles. Faites-vous confiance !
Ma proposition de lecture comme si tout le texte s’adressait en fait à nous (ceci est bien une proposition de lecture, non pas une réécriture, le texte reste bien sûr la propriété d’Alexandra Tsaousis et c’est juste pour vous donner un prisme de lecture qui a fortement raisonné en moi, si cela peut parler à d’autres et si elle accepte cette proposition de lecture en commentaire) :
« Une part oubliée de moi est dans la légèreté, l’éparpillement, le jeu, la frivolité
Une autre partie de moi plus présente voudrait qu’elle se stabilise, vive plus en conscience, se responsabilise
Je suis la plupart du temps sérieuse, normative, dans les attentes et les projections envers moi-même et envers les autres, car la société, les épreuves, et les blessures m’ont formaté(e) ainsi et éloigné(e) de ma nature
Je suis dépendante affective de l’autre, comme il l’est parfois de moi
Je voudrais retrouver ma légèreté, ma douceur, ma joie, mon yin,
Mes dualités sont éprouvantes et souffrantes
Je ressens une partie de moi être dans l’excès yin et une autre partie en excès yang
J’aimerais trouver une harmonie entre ces deux énergies en moi, pour être juste dans ma relation à moi-même et à l’autre
Une partie de moi trouvera son adulte intérieur, une autre partie de moi reconnectera à son enfant intérieur
Et les deux pourront se tenir la main, et continuer ensemble, je pourrais avancer
Et non plus vivre dans la sensation d’être séparées et attendre de l’autre qu’il vienne combler cette sensation.
Je serais libre d’être moi, et je laisserai l’autre être libre d’être qui il est,
Dans toutes nos dimensions. »
Merci !
Je me permets de partager des pensées…
Mon expérience n’est pas si binaire donc même si dans les étapes, l’intensité, les synchronicités etc je me (nous) retrouve dans les écrits FJ, oui mais…ou mieux, « oui et… »
J’ai l’impression que le rôle égotique de chaser (ou aussi appelée la « féminine »), est un comportement typiquement féminin, que l’on retrouve souvent dans les interactions hommes-femmes, voir le vieux best seller « Les hommes viennent de Mars, les Femmes viennent de Vénus » qui décrit bien cette dynamique assez « classique » (ou écouter les discussions entre femmes sur leurs désillusions et déceptions sentimentales…).
Quant au papillonage des dits « runner », c’est un comportement que l’on retrouve souvent chez les hommes (peur de l’engagement, besoin de flatter leur virilité en plaisant à plusieurs femmes etc).
C’est d’ailleurs de ces comportements typiques que découle l’appellation féminine (alors qu’on parle de polarité yang) et masculine (alors qu’on parle du yin), non?
Dans mon expérience, je ne peux pas m’identifier à l’un ou l’autre car mon mental en arborescence va voir tous les aspects yin et yang des deux, de façon beaucoup plus subtile et nuancée. Dire que l’un est comme ci et l’autre comme ça ne résonne pas, (et c’est un risque d’enferment involutif) puisque en y regardant de plus près, si l’un est comme ci vis à vis de sa FJ, c’est que l’autre est comme ça dans un autre aspect extérieur ou intérieur dans sa vie.
Au niveau énergétique, c’est déjà plus simple à identifier, car le corps a un langage différent.
Je suis en excès de yin en tant qu’individu, et pourtant au niveau égotique et relationnel dans mon duo, j’étais l’excès yang, alors que ça n’avait jamais été le cas dans les précédentes relations, comme si à son contact mon yang s’était activé, puisque le « chaser » ou encore la « féminine », jusqu’à ce que j’arrête. Mais sortir de ce rôle yang égotique mal compensé (grâce à la séparation dû à la fuite de l’autre pourtant en excès yang) ne suffit pas. Il faut stabiliser le yang en soi pour connecter à son yin qualitatif et pas le yin errant sans consistance. J’ai la sensation que je dois trouver l’adulte en moi pour mieux connecter à mon enfant intérieur, devenir son parent pour qu’il se sente suffisamment sécurisé à vivre sa spontanéité et d’amour pur et simple, et pas celui qui réagit avec ses peurs et blessures dans un corps d’adulte.
Bref que tout cela est un continuum et que finalement ça ne résonne pas du tout de l’aborder de façon binaire, quelques soient les noms que l’on donne à l’un ou l’autre. Pourquoi ne pas juste utiliser les prénoms de chacun dans la conscience que chacun a ses caractéristiques et porte les 2 énergies en lui ou elle mais qui s’exprime tantôt en manque et tantôt en excès selon les situations? Parfois les 2 sont en mode yin (longs silence, plus de communication), parfois en mode yang (prises de tête sur des futilités, rigidité mentale des deux, dialogue de sourds, attentes etc).
Peut-être que l’un doit plus s’engager, se stabiliser au niveau relationnel et vis-à-vis de l’autre dans le duo. Pour autant, je ressens que l’autre doit arrêter de s’éparpiller, s’oublier, se fuir soi-même, et donc se stabiliser en soi. Et au final avec l’autre, ce qui revient au même.
Et ce n’est pas forcément celui qui attends l’autre qui est yang…C’est d’ailleurs à mon sens une attitude passive, donc yin. Il ne s’agit pas alors de se dire « je me suis trompé de polarité », mais accepter que nous sommes les deux et aller regarder les parties oubliées de nous -mêmes. Celles qu’on arrive si bien à voir chez l’autre et pas chez soi… Le yang interactionnel du duo semble donc en manque de yang pour lui-même (et c’est pour ça qu’il cherche le yang en l’autre et à lui imposer, car au fond il a une carence yang, malgré les apparences) et en manque de yin face à la vie (lâcher-prise, acceptation, moment présent etc).
En fait, quand je lis ce texte (et autres), ce qui résonne le plus en moi, c’est que ma part féminine et ma part masculine doivent faire tout ça pour aller mieux. Avec moi. Puis avec l’autre. Je ne vois plus l’autre ou moi comme étant l’un ou l’autre. Je SUIS la féminine et je SUIS le masculin. Nous deux, incarnons chacun à notre façon les deux. Je ressens cela de façon continuelle et non pas dans des rôles fixes attribués qui s’adressent au mental jusqu’à le perdre et à ne plus vibrer.
En fait, si je suis honnête avec moi-même, je ressens les choses comme cela depuis le début.
Et pourtant, j’ai donné du crédit à toutes ces théories classifiantes et séparatistes, par rigidité yang (besoin de rationnaliser à coup de théorie mentale l’irrationnel) et par manque de confiance en moi yin (recherche de validation extérieure, laisser l’expertise à l’extérieur, besoin de savoir qui je suis dans ce parcours etc).
Belle quête de soi à tous et toutes et merci pour ces partages qui me font réfléchir toujours un peu plus loin…
Je vous propose de relire l’article comme s’il s’adressaient à vos différentes parties en conflit en vous. C’est assez fou. Très vibrant et parlant de mon côté. =)
Ca n’invalide pas les théories FJ, mais juste cela apporte une nouvelle dimension, une nouvelle compréhension…
Un nouvel objectif de parvenir à pacifier ses côtés yin et yang en soi et ne pas catégoriser l’autre et attendre qu’il fasse le « job » de sa polarité, mais juste lui souhaiter de trouver son équilibre comme nous tendons à le faire pour nous.
Merci pour ce partage ! Oui la relation Flammes Jumelles est loin d’être binaire et les écrits s’adressent à différents niveaux de conscience. Les théories permettent de faire avancer, réfléchir, se positionner en fonction de son éveil. Bon parcours !